The Boys in the Band est un film basé sur la pièce de théâtre du même nom de Mart Crowley, une oeuvre à succès qui a été jouée à Broadway en 1968. C’est aussi un remake du film Les Garçons de la bande sorti en 1970, réalisé par William Friedkin. Cinquante ans plus tard, Netflix coopère avec le très réputé Ryan Murphy pour produire ce film qui sera réalisé par Joe Mantello, connu pour ses productions à Broadway. Pourquoi s’intéressent-ils toujours autant à une trame des années 60’ ?
On voit certains film ne sachant rien dessus et on en ressort agréablement surpris. Et il y a certains films que l’on voit et on y repense régulièrement pendant 2 ans, tellement on a était déçu quand bien même on en attendait rien.
Quand le directeur de photographie de Nolan s’étant toujours opposé a passer au support numérique se lance dans la réalisation d’un premier film sur l’intelligence artificielle, on est dans le droit de s’attendre à quelques chose de spectaculaire… et c’est le cas ! Le film est spectaculaire et c’est bien tout ce qu’il a pour lui.
Dans un Los Angeles futuriste (2025), Théodore récemment séparé de sa femme est sur le point de signer les papiers du divorce. Excellent dans son travail mais dépressif il se procure un nouveau système d’exploitation personnalisé nommé OS 1 qui se donne vite comme prénom Samantha. Une relation va alors naître entre ces deux « êtres », l’un découvrant le principe de la vie et l’autre redécouvrant la passion dans un monde où la technologie a pris le pas sur toute émotion humaine.
Shutter Island relate une enquête dans un labyrinthe dont la sortie n’est peut-être pas celle que l’on croit. Scorsese joue entre la frontière du réel et de la folie pour nous faire douter sur ce que l’on prenait au début pour une évidence. Cette manipulation spectatorielle nous oblige alors à avoir un oeil plus attentif sur le film, et à repérer le moindre indice nous permettant d’atteindre la vérité.
There Will Be Blood est le cinquième long-métrage de Paul Thomas Anderson. Il nous a habitué à montrer des personnages qui rencontrent des problèmes internes comme la solitude ou la colère mais aussi des problèmes externes tels que des confrontations dans une famille ou contre une communauté. Nous retrouvons ces thématiques qui sont chères à Paul Thomas Anderson. Cherchant à changer de registre à chaque nouvelle oeuvre, il nous replonge dans la fin de l’Old West et donc la fin de la colonisation de l’ouest américain.